Let me in (Matt Reeves, 2010)
Remake d’un film suédois que j’avais vu il y a moins d’un an, Let the right one in, (lui-même tiré du livre du même nom), Let me in traite du lien d’amitié qui se crée entre un enfant de 12… Lire la suite ›
Remake d’un film suédois que j’avais vu il y a moins d’un an, Let the right one in, (lui-même tiré du livre du même nom), Let me in traite du lien d’amitié qui se crée entre un enfant de 12… Lire la suite ›
Comme pas mal de monde, Vorti et moi avons beaucoup aimé le premier Pirates des Caraïbes (la Malédiction du Black Pearl). C’est en mémoire de certaines de ses excellentes scènes, de ses répliques mémorables (dont certaines que nous utilisons encore… Lire la suite ›
Tomboy, malgré son titre en anglais, est un film français. Le choix de ce titre énigmatique (pour qui ne parle pas couramment la langue) tient probablement à l’espoir de la réalisatrice de créer un effet de surprise dans la toute… Lire la suite ›
Au risque de déclencher une polémique, je pense, j’affirme même que la contrepèterie est un art! Son principe est très simple : il faudra dans une phrase, à l’apparence anodine, échanger deux syllabes ou phonèmes, voire plus, entre deux mots… Lire la suite ›
L’inspiration pour cet article est venue d’une collègue japonaise qui récoltait des fonds après le récent tremblement de terre, mais aussi sous l’impulsion de Jib qui a également posté un article sur les terribles événements qui se sont produits au… Lire la suite ›
Voilà un film qui n’aura pas fait grand bruit Outre-manche lorsqu’il est sorti. Apparemment, j’avais envie de le voir, mais j’ai du immédiatement l’oublier lorsqu’il a disparu des salles après seulement quelques jours. Quoi qu’il en soit, c’est le DVD… Lire la suite ›
L’officier militaire américain Colter Stevens se réveille dans un train, aux côtés d’une femme qui semble le connaître mais que lui, n’a jamais vu. 8 minutes de confusion plus tard, le train explose. …et Stevens reprend conscience dans une espèce… Lire la suite ›
Duane Swierczynski… Ce nom vous rappelle quelque chose, mais quoi ? J’avais bien accroché au premier roman de Swierczynski, The Blonde, même s’il n’était pas exempt de défaut ; j’avais notamment apprécié le style de l’écriture, précis et sans fioriture,… Lire la suite ›