The Descendants (Alexander Payne, 2011)
J’aime bien George Clooney. Sa seule présence dans un film peut me convaincre qu’il vaille la peine que je me déplace le voir. Les derniers long métrages en date que j’ai vus avec lui sont Burn After Reading, Les marches du Pouvoir et In The Air, des rôles aux antipodes diront-nous, mais certainement marqués par son charisme (j’ai omis ce film-là, parce qu’on a tous le droit de faire des erreurs…).
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Dans The Descendants, Clooney incarne Matt, un père de famille vivant sur l’ile de O’ahu à Hawaii. Sa femme Elizabeth est victime d’un accident de scooter des mers et se retrouve paralysée et plongée dans le coma. Les docteurs ne sont pas très optimistes quant à la situation d’Elizabeth et poussent Matt à se préparer au pire et prévenir leur famille et leurs amis.
Se retrouvant seul à élever ses filles Scottie et Alex, Matt est confronté de plein fouet à un rôle qu’il avait négligé et laissé quasiment entièrement à sa femme. Les évènements récents vont précipiter de nombreux changements dans sa vie et déterrer des histoires dont Matt ne soupçonnait pas l’existence.
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Réalisé par Alexander Payne à qui on doit quelques films connus (Sideways et Monsieur Schmidt pour ne citer que ces deux-là), The Descendants est une comédie dramatique émouvante et qui touche juste. Evidemment, voir George Clooney en tant que loser, essayant de faire face au drame de sa famille qui est au bord du déchirement, joue beaucoup sur la réussite du film (il a d’ailleurs été nominé pour de nombreux prix et gagné un Golden Globe à cette occasion).
La famille (presqu') au complet...
Les personnages sont par ailleurs tous très bons, de l’émotion au n’importe quoi, et une mention spéciale va à Alex sa fille très justement interprétée par Shailene Woodley. Si l’histoire au final est assez banale, on prend plaisir à voir l’intrigue se développer jusqu’à la scène finale, qui complète bien l’esprit du film.
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Sans être le film de l’année, la prestation de George Clooney et la réalisation efficace font de The Descendants un bon petit film qu’il serait dommage de manquer, notamment pour l’interprétation.
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A voir soit dans les salles, soit sur un autre support.
Sabotage ! ^_^
J’explique pour ceux qui se sont connectés il y a quelques minutes, et qui s’étonneraient de ne plus retrouver tout dans l’état dans lequel ils pensaient l’avoir laissé : Stoeffler et moi ayant posté nos articles pratiquement en même temps. Quand on vous dit qu’on a le Même Esprit ! ;)
Je lui laisse donc la vedette pour ce soir et je décale la publication de mon billet pour demain matin.
Désolé man!
Je savais pas qu’on pouvait deplacer son billet… j’aurai pu le faire!
No problemo : traditionnellement, la chanson de la semaine, c’est le vendredi matin, c’est moi qui étais en avance ;)