Rock en Seine 2010 (le deuxième jour)

Billet et programme

L’après-midi avait débuté avec quelques frayeurs, une grosse pluie s’étant abattue sur le chemin du domaine de Saint-Cloud. Heureusement, le ciel s’est finalement décidé à nous donner de belles éclaircies pour le reste de la journée, un temps idéal pour profiter du festival; avec une mention spéciale cette année car j’ai eu le droit à une double ration de potes avec les amis connaissances françaises et anglaises réunies pour la première fois (et je l’espère, pas la dernière).

Pas de repos pour les braves, dès notre arrivée, nous nous emparons d’un programme et comme nous étions situés près de la scène de l’Industrie, nous avons pu écouter d’une oreille distraite Viva and the Diva. Je ne me suis pas concrètement fait d’avis sur leur prestation car il faut bien le dire, j’étais plus en train d’examiner le programme pour savoir ce que j’allais me mettre sous l’oreille. L’impression en fond sonore que cela m’a donnée : plutôt noisy avec la chanteuse, bien que de nationalité française (comme le reste du groupe), qui interprétait les morceaux en anglais. Pas de souvenir fulgurant de cette rencontre sinon un chant énervé ou alors on avait du lui marcher sur le pied juste avant…

Viva and the Diva

Le premier concert se termine et à l’unanimité ((parce qu’on était quand même neuf !) et surtout que Rock en Seine a cela de spécial que la plupart des artistes ne se chevauchent pas… au niveau des horaires ! Ce qu’ils font en coulisse ne nous regarde pas !) on se dirige vers la deuxième scène, celle de la Cascade pour écouter Plan B.

Nous avons été accueilli en première partie par une Human Beatbox (ces personnes sont capables de créer un rythme et une musique juste avec leurs cordes vocales) ahurissante qui a interprété plusieurs morceaux seul, et à la bouche donc. Parmi ces titres, nous avons eu entre autres l’incontournable I like to Move it (avec une bonne ambiance dans la fosse parce qu’il faisait participer le public en faisant crier Move It à tout le monde), Insomnia du groupe Faithless ou encore la bande originale du film Le Parrain. Cet interlude fut d’autant plus sympathique qu’on ne s’attendait pas à une telle introduction pour le concert de Plan B ; et tout compte fait, mission accomplie, nous étions gonflés à bloc pour la prestation suivante.

Plan B quant à lui a livré une prestation solide avec un son d’excellente qualité. Ben Drew, qui est à lui tout seul Plan B sur CD mais qui est accompagné sur scène de musiciens, est doté d’une voix très suave, à la limite cassée et les morceaux qu’il a interprété étaient en adéquation avec sa manière de chanter : groovy à souhait. Nous avons aussi eu droit et des morceaux un peu plus rap, et les titres se sont enchainés assez rapidement pour nous faire passer un agréable moment et nous donner envie d’acheter son deuxième opus (un de mes potes anglais me glisse à l’oreille que son premier album ressemblait plus à du Eminem avec une guitare acoustique… il a donc troqué un look plutôt agressif pour celui d’un crooner plutôt classe ; apparemment le succès du deuxième album a été fulgurant, comme quoi l’habit fait peut être le moine…).

Plan B et ses potes crooners

Une prestation générale très sympathique ponctuée par deux reprises : une de Paolo Nutini, dont je ne me souviens pas du nom, mais qui avait vraiment la pêche et donnait envie de sautiller et une autre de Seal (Kiss from a rose) que nous avons du abandonner au passage pour aller rejoindre la Grande Scène et les Stereophonics.

Nous avons donc planté Plan B, et également Akodostef qui voulait voir la fin du concert et apprécier la groupe Quadricolor, pour aller voir jouer le groupe Gallois. Ce fut un peu bizarre car tout de suite on sentait que le son était moins bon ; je me suis dit que c’était peut être du au fait qu’on était légèrement sur le coté. Du coup, on a papoté avec les personnes présentes (ce qui m’a permis d’apprendre qu’elles les avaient vu jouer il y a près de 10 ans au festival de Reading) pendant la plupart du temps. Malgré tout, les Stereophonics ont produit un son correct et très professionnel. Ce qui était pas mal, c’était qu’on discutait entre potes pendant que leur best of fournissait une bande sonore de fond.

Parmi les titres interprétés, nous avons eu dans le désordre : A Thousand Trees, Dakota, Maybe Tomorrow, Superman, Local Boy in the Photograph et Mr. Writer.

Kelly Jones, le chanteur de taille modeste des Stereophonics

Prochain arrêt Two Door Cinema Club sur la scène de la Cascade; je pense que nous sommes arrivés après la première chanson ou peu après le début du concert. De manière générale, le son m’a fait penser à Foals voire Bloc Party de temps en temps, avec des rythmes très rapides et une musique entrainante; l’impression fut très plaisante mais cela ne m’a pas transcendé; c’était sympa (malgré le rouquinisme du chanteur) mais ça ne m’a pas mis une claque. A suivre peut être sur CD ou sur Youtube, mais le concert ne restera pas dans les annales.

Avant de repasser sur la Grande Scène, j’ai été victime d’une manipulation de la part de certaines personnes présentes au festival. On m’a demandé si je voulais un sandwich jambon/raclette pour le diner, et je me suis proposé d’accompagner les malandrins au stand ; cependant, et au dernier moment, on me dit de rester avec mes potes anglais, une des canailles s’étant proposée de me ramener le sandwich. J’aurais du me douter qu’un acte de gentillesse à mon égard n’était qu’une vile machination pour profiter de ma naïveté, et je suis évidemment tombé dans le panneau… pour la bonne cause !

Two Door Cinema Club

Les sacripants étaient donc de retour avec un sandwich jambon/raclette et une bougie incrustée dans la croute du pain. Surprise totale de ma part (l’abruti…) et puis un cadeau de la part des gredins. Pratiquant le football au poste de gardien, une tenue aux couleurs du blog m’a été offerte, comme tu peux le voir un peu  plus bas, lecteur. Merci donc aux auteurs/lecteurs du site qui ont participe à ce beau cadal !

C’est avec le sourire aux lèvres (et revêtu de mon nouveau porte étendard du Memesprit) que je me suis rendu au devant de la Grande Scène pour admirer pour la quatrième fois (il me semble) Queens Of The Stone Age ; j’en trépidais d’avance et il faut l’avouer, c’est surtout pour ce groupe que j’avais décidé de venir à Rock En Seine cette année. J’espérais secrètement assister à un show aussi bon que lors du festival de Reading en 2008 où ils avaient joué avant Rage Against The Machine (en voilà une belle paire de tête d’affiche !) et leur prestation avait marqué mon esprit car je les avais trouvé absolument géniaux.

J’ai déchanté assez rapidement… non pas parce que techniquement ils étaient à la ramasse, mais parce que le son était assez crade au début, et mal réglé. Ils ont débuté avec deux morceaux de Rated R (qui fête ses 12 ans cette année avec une édition spéciale que je vais acheter, parce que oui mesdames et messieurs, je suis un fan moa !), Feels Good Hit of the Summer (avec un tempo légèrement plus rapide) et The Lost Art of Keeping a Secret.

Votre fidèle serviteur

Puis ils ont enchainé avec trois titres de Era Vulgaris qui est de loin l’album que j’aime le moins, mais qui contient néanmoins de bonnes chansons, 3s and 7s, Sick Sick Sick et Misfit Love qui selon moi est un gros titre avec une rythmique endiablée et que je trouve très dansante. Malheureusement, la saturation était bien trop forte et bien que le son était un poil plus fort, à mon plus grand bonheur (car pendant un concert j’aime me sentir enveloppé par la musique, littéralement, et que si on arrive à me parler pendant le set, ça veut dire que le son n’est pas assez fort !), je me demande si un profane a pu apprécier les morceaux. Dommage… La fin du concert s’est un peu mieux passée, ils ont enchainé avec deux morceaux de Lullabies to Paralyze, Burn the Witch (vraiment pas ma préférée de l’album) qui a un riff intéressant et puis une de leur meilleure chanson Little Sister. Encore fois chapeau pour la maitrise technique, le morceaux n’est pas évident et le son était pile poil, notamment le solo final parfaitement interprété par Josh Homme, « the ginger Rock God ». S’en est suivi deux morceaux un peu moins connu : Long Slow Good-Bye et I think I lost my Headache, qui avaient un tempo plutôt lent. Bizarrement, bien que moins connues, j’ai l’impression qu’ils les jouent assez souvent en concert, peut être justement pour souffler un peu avant… trois morceaux finaux tirés de l’album Songs for the Deaf.

Go with the Flow fut un peu décevante au niveau sonore, mais avait une grosse pêche ; il faut dire que c’est une chanson énorme à la base, donc rien que de les avoir vu l’interpréter, je n ‘allais pas faire la fine bouche.

Puis Josh, qui a été très très discret tout au long du concert (généralement grande gueule à faire des blagues ou insulter le public), nous a annoncé la couleur « it’s a song that everybody knows ». La foule s’est mise à hurler pour Know One Knows, là encore parfaitement interprétée et avec quelques ajouts sympas comme des temps morts ou des solos allongés. Il faut dire que le morceau est très entrainant mais cache une technicité poussée avec des changements de rythme sympas et une partie vocale intéressante qui bien qu’elle soit une chanson grand public, reçoit également l’approbation des puristes qui peuvent aussi apprécier sa composition.

Finalement, les QOTSA ferment leur concert avec leur habituel morceau Songs for The Deaf qui est une véritable tuerie en live : changement de rythme, grosse batterie, solos sympas et final à couper le souffle : je me suis demandé s’ils pouvaient la jouer plus vite que cela.

Pour conclure cette (longue) partie, un peu déçu du son (même si c’était dix fois mieux que l’année précédente), mais je suis un fan du groupe donc j’en ai eu pour mon argent. Je pense que pour les personnes qui ne connaissaient pas bien le groupe, il a du être difficile d’apprécier certaines chansons qui étaient à la limite de la saturation. Néanmoins, le groupe reste selon moi une des meilleures formations live que je connaisse (et j’en ai vu des concerts).

On admire le style Jean-foutre de Josh Homme

Apres QOTSA, c’était finalement au tour de Massive Attack de faire leur entrée sur la Grande Scène. J’étais un peu sceptique je dois avouer car j’avais eu une impression mitigée quant à leur performance live : je me rappelle d’une VHS que j’avais enregistrée (une VHS les jeunes, une VHS !!!) d’un concert qu’ils avaient donné pour la tournée Mezzanine et qui était terrible. Puis il y a quelques années de cela, je suis allé les voir à Hyde Park pour le festival O2 Wireless et j’avais été déçu par la qualité sonore qui était pourrie car les basses étaient clairement mal réglées ; encore plus rageant lorsque rentré chez moi, j’avais regardé les meilleurs moments à la télé et le son était nickel…

Avant leur entrée sur la scène, j’étais donc un peu appréhensif mais mes doutes ont été vite balayés car, même si le son n’était toujours pas assez fort à mon gout, les réglages quant à eux étaient bons. Je ne me souviens plus exactement de la Set list et de l’ordre des chansons mais le concert a été essentiellement composé de chansons de Heligoland ainsi que de Mezzanine ; avec une exception pour Safe From Harm, tirée de l’album Blue Lines.

N’ayant pas acheté leur dernier opus, Heligoland, j’ai été moins touché par ces morceaux, mais leur interprétation m‘a cependant laissé un bon souvenir et je pense que je vais m’empresser d’aller chez mon disquaire me l’approprier.

Massive Attack sur scène

Le concert en lui-même était très atmosphérique et durant pas mal de chansons, des messages contestataires et militants circulaient en toile de fond ; le but j’imagine était de lire ces messages pendant que la musique nous enveloppait. Cela perdait un peu de son charme si on voulait profiter pleinement de la performance du groupe, surtout qu’avec la distance, personnellement, je n’ai rien pu voir !

Le groupe sur scène était composé de deux batteurs, un gratteux, un bassiste, un gars à la programmation et une pléthore de chanteurs comme à leur habitude : Daddy G et sa grosse voix, Andy Vowles a.k.a Mushroom, l’incontournable Horace Andy et leur nouvelle muse Martina Topley-Bird, qui s’est plutôt pas mal débrouillée. Les trois meilleurs moments du concert ont été selon moi : une nouvelle interprétation de Teardrop, complètement re-instrumentalisée avec des sonorités orientales si ma mémoire est bonne, et la voix de la chanteuse très à son avantage car la musique étant presque minimaliste, lui permettait de nous montrer sa palette vocale et ce dont elle était capable. L’incontournable Angel interprété par l’inusable Horace Andy. Et enfin, Safe From Harm qu’ils ont transformée en une chanson live de neuf minutes avec un final très prenant : ici une petite vidéo de ce moment bien sympa.

Je voulais finir la soirée en allant voir Too many Djs mais je pense que la plupart des gens en avait marre, avait faim ou voulait simplement rentrer. Ce que j’ai entendu du set m’a grandement donné envie de les voir ultérieurement, si l’occasion se présente. Ils ont fini avec un mix QOTSA (Feel Good Hit of the Summer) et Joy Division (Love will tear us apart) et une explosion de confettis.

Too Many Dj's

Une deuxième journée qui m’a laissé un excellent souvenir de part les artistes et de part la présence de tous me potes !

[Les photos siglées SK dans le coin inférieur gauche sont tirées de deux reportages photos du site Soul Kitchen : Reportage 2e journée et Groupes au charisme de moule]

8 réflexions sur “ Rock en Seine 2010 (le deuxième jour) ”

  1. Akodostef sur

    Mes impressions en complément sur cette très bonne deuxième journée :
    – les problèmes de logistique (9 personnes à rassembler, c’est pas toujours facile) nous ont fait louper Chew Lips (http://chew-lips.com/fr), que j’ai découvert en écoutant ce que proposait le programme de Rock en Seine cette année et que j’aurais bien aimé écouter, mais bon…
    – arrivés sur la fin du set, on n’a pas eu non plus le temps de vraiment découvrir Viva and the Diva, mais ça avait l’air pas mal dans le genre rock énervé, un peu indus.
    – Bonne surprise avec Plan B. Une semaine avant, je ne connaissais pas l’artiste, et je croyais que son tube She Said (http://www.youtube.com/watch?v=rQjh9H-ymK4) était chanté par une femme (!). Très bon chanteur, le look classe du groupe colore leur musique de façon efficace et appropriée ; j’ai vraiment bien aimé le show, et la mise en bouche par la Beatbox Faith SFX (http://www.dailymotion.com/video/xer6rs_beatbox-intro-concert-plan-b-rock-e_music) était inattendu et très très sympa.
    – ce que j’avais entendu des Quadricolor (http://www.myspace.com/4quadricolor4) ne m’avait pas du tout séduit, mais je n’avais vraiment, mais vraiment rien à cirer des Stereophonics, donc j’ai pu découvrir et mieux apprécier ce groupe de jeunes virtuoses (formés au Conservatoire) qui jouent électro-pop. Je n’ai pas été transporté, mais ça marchait parfois plutôt bien.
    – J’ai bien aimé Two door cinema club, qui sonne effectivement pas mal comme Foals avec des rythmes de guitare pied au plancher et sautillants, mais sans les synthés qui donnent leur couleur new-wave 80’s à Foals. Les mecs ont l’air humble et très sympa par ailleurs, des qualités qui comptent pour moi, mais leurs morceaux manquaient de vrais refrains ou de mélodies pour me donner envie de les entendre encore.
    – Pauvre Jonsi (http://jonsi.com) ! Le chanteur de Sigur Ros en solo, qui joue normalement une musique électro atmosphérique, était privé de toutes ses machines, restées bloquées au Portugal… Il a du coup livré un concert « acoustique », mais qui du coup m’a beaucoup plus plu que ce que j’avais entendu des versions électro (et que Sigur Ros, qui me laisse froid). Nous ne l’avons écouté qu’à moitié, en nous préparant pour le concert suivant, mais sa voix de tête triste et son étrange mais doux regard m’ont d’autant plus touchés qu’ils étaient en harmonie avec sa situation malheureuse.
    – j’aurais aimé écouter les Naive New Beaters (http://www.myspace.com/naivenewbeaters), que je ne connais pas vraiment mais dont la musique et l’esprit me semblent très chouette. Malheureusement, ils passaient en même temps que Queens of the Stone Age, et c’est le genre de groupe que je ne voulais pas louper. Au final, j’ai été un peu déçu par le concert, parce que c’est sur cette même scène qu’ils m’ont totalement emballé il y a quatre ans et convaincu qu’en fait c’était un pur groupe de tueurs (c’était l’époque de Songs for the Deaf), et que là le show était franchement moins intense (bien peu d’interventions de la part de Josh Homme), et la playlist plus diluée en morceaux « sympas mais sans plus » à mon goût.
    – je ne suis pas fan de Massive Attack et j’aurais pu faire l’impasse sur ce concert même si c’était LA grosse tête d’affiche qui a convaincu plein de monde autour de moi de prendre son ticket pour Rock en Seine cette année ; j’avoue que j’aurais loupé quelque chose, parce que c’était vraiment très bien, propre au niveau du son (je redoutais le contraire vu qu’on était sur la Grande Scène et que les basses risquaient de bien saturer), planant et prenant. J’aurais davantage apprécié encore en étant assis (ou allongé), parce qu’on ne peut pas dire que ce soit le genre de musique qui fasse trop bouger, mais j’ai vraiment trouvé le concert excellent.
    – on a écouté 2 many DJ’s à moitié contraints parce que nos compères anglais s’étaient égarés et qu’il a fallu le set entier avant qu’on les retrouve. A part pour le final très cool, je n’ai vraiment pas été emballé par ce que j’ai entendu, alors que j’avais un a priori très positif.

    Et sans rapport, je suis bien content du cadeau pour Stevie, qui rend super bien (j’avais un peu peur que le transfert soit un peu pourrave vu que le logo est composé de plein de petites images mais les mecs ont bien assuré), et qui fait classe sur son dos :)

  2. Stoeffler sur

    Pour info, j’ai utilise le set du gardien en entier (haut et pantalon renforces) et il a survecu aux deux fois pour l’instant, alors que je n’ai pas ete tendre avec lui!
    Professionnel et classe!

  3. Akodostef sur

    Hop c’est réparé, désolé pour ça.
    Soul Kitchen est un très chouette site sur lequel on trouve des reportages photos sur la musique de très bonne qualité (la preuve : le nombre d’illustrations qu’on a été piocher là-bas pour nos derniers articles ;) )
    @ux contributeurs : si vous utilisez des photos de Soul Kitchen, merci de penser à ajouter le lien vers l’album dont est tirée la photo que vous utilisez, à la demande de leur admin ! (par contre si quelqu’un sait comment transformer la balise en lien hypertexte, ça sera moins moche dans la légende… une idée, quelqu’un ?)

  4. merci pour les compliments. Par contre un lien c’est bien un lien au sens lien… :)
    Si ça marche pas dans la légende, il faut essayer de mettre le code html complet, par exemple :
    Photo Rock En Seine : Soul Kitchen
    sinon, je préfère que le lien soit en fin de texte si cela ne marche pas comme ça :)

  5. Akodostef sur

    Bon… j’ai fait une recherche rapide mais je n’ai pas trouvé comment insérer un lien hypertexte dans la légende d’une image sur WordPress, donc je vais rajouter un lien à la fin de l’article de Stoeffler…

  6. Stoeffler sur

    Merci a Akodostef, my Personal Assistant, pour avoir gerer les legers problemes techniques.
    Et merci SK pour tes photos bien sympas!

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