Dollhouse, saison 1 : impressions

Après les différents season final des séries de l’année, je me suis mis en quête d’une série pour combler un manque et je me suis finalement décidé pour Dollhouse.

Des personnes se font « volontairement » effacer leur personnalité pour devenir des dolls (poupées), aussi vulnérables que des nourrissons, et son regroupés dans cette fameuse dollhouse. Les dolls ont pour but de remplir des engagements à des clients fortunés en se faisant imprimer pour chaque engagement une personnalité différentes (personnalité qui est effacée à la fin de chaque engagement et les renvoyant donc à l’état de dolls). Cette organisation secrète est pour la population une légende urbaine sauf pour l’agent fédéral Paul Ballard, qui persuadé de l’existence de cette dollhouse, mène l’enquête, ce qui ne manque pas de lui attirer les foudres de ses supérieurs et les sarcasmes et plaisanteries de ses collègues.On suit donc conjointement la dollhouse et plus particulièrement Echo (Eliza Dushku ) et son chaperon, Boyd Langton, au cours de ses divers engagements et l’agent Ballard qui mène l’enquête.Bien évidemment, comme on peut s’en douter, malgré les multiples effacements, Echo se souvient par flash ses personalités précédentes mais aussi de sa vraie personalité ( Caroline)

La mythologie de Dollhouse se met rapidement en place durant cette première saison qui comprends 13 épisodes. On retrouve dans cette série à la fois des aspects d’Alias et de Dark Angel avec des épisodes en stand alone et des épisodes qui ont plus traits à la mythologie ou qui dévoilent peu à peu, la mise en place de cette organisation et l’histoire d’Echo. La série met en avant la traffic d’êtres humains (même si les personnes sont au départ volontaires, elles ne savent pas exactement de quoi il en retourne) et contrebalance celui-ci avec les failles de dirigeants de la dollhouse ce qui m’a franchement mis parfois mal à l’aise. Le thème n’est pas particulièrement original et cette possibilité de personalités multiples aurait pu permettre plus de largesse au niveau des épisodes en stand alone qui n’ont rien de transcendants. Les épisodes mythologiques sont quant à eux un peu plus intéressants (on nous révèle assez tôt que le but de la dollhouse ne repose pas que sur les engagements des différentes dolls) et ne manquent pas de rebondissements.

La série, bien que n’ayant pas rencontrée un grand succès, a néanmoins été reconduite pour une saison supplémentaire de 13 épisodes.En conclusion, une série qui se laisse regarder mais qui nous laisse sur notre faim en  n’exploitant pas le potentiel dont elle disposait à la base. A suivre…

3 réflexions sur “ Dollhouse, saison 1 : impressions ”

  1. Celine sur

    Cela m’a donne envie de voir Dark Angel !

  2. Dranac sur

    L’avatar de Céline, c’est du sur mesure ?

  3. Jika sur

    Nan, c’est du « comme toi », au hasard.

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