Jordanie (10 au 18 mars 2012), première partie

10 mars

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La première journée est évidemment passée à voyager jusqu’à notre destination de départ en Jordanie, Amman, et qui est sa capitale. Rien à signaler si ce n’est un léger contretemps avec notre avion qui était à la bourre (mais qui proposait une sélection de films de qualité, The Ides of March dont la critique a été effectuée par Akodostef et Another Earth qui méritera certainement un billet prochainement), ce qui a retardé considérablement notre heure de coucher, 2h du matin heure locale.

Une petite note à notre lectorat, nous avons opté pour un tour organisé, et ce pour diverses raisons, ce qui veut dire que certains de nos horaires ou destinations n’étaient pas totalement notre choix, mais convenaient globalement à l’itinéraire qu’on aurait aimé effectuer si on avait décidé de ne partir qu’à deux.

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11 mars

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Lever bien difficile à 7h30 après une courte nuit, mais on descend tout de même prendre le petit déjeuner, qui sera un buffet (c’est à dire: éclate toi la panse mon gars, tu pourras te permettre de ne prendre qu’un léger déjeuner). Il y a une large sélection de sucré et de salé, et la bouffe était assez bonne, mélange de mezzé et de petits cakes.

Jerash

Après notre collation matinale, direction Jerash notre première visite en terre jordanienne. Sur le chemin notre guide nous fait un petit topo sur son pays qui était assez édifiant. La Jordanie n’a pas de pétrole et son économie est dépendante d’environ 25% du tourisme ce qui est absolument énorme. Le problème de ce genre de situation c’est que ça peut se retourner contre le pays, si pour une raison ou une autre le tourisme diminue. C’est en gros ce qui se passe actuellement avec tous les voisins de la Jordanie que sont Israël, le Liban, La Syrie et l’Iraq qui font de la mauvaise publicité à la Jordanie et nuisent à son tourisme. Notre guide, Khaled, prétend que depuis mars dernier, lorsque les soulèvements populaires ont commencé, la Jordanie a perdu 90% de son tourisme (ça semble un peu beaucoup à vrai dire), ce qui n’aide pas le pays déjà très pauvre.

Apres cet aparté, on arrive aux ruines de Jerash, qui était un ancien fief romain, grec puis byzantin. C’est un peu une constante que l’on retrouvera dans l’architecture et les vestiges jordaniens, c’est qu’à peu près toutes les civilisations lui sont passées dessus! C’est surprenant de voir des vestiges romains mélangés à des temples grecs ou encore byzantins.

On commence la visite par la porte d’Hadrien puis on longera différents édifices : un hippodrome, le Forum, un amphithéâtre, le Temple D’Artémis, un autre amphithéâtre et une voie pavée. Les vestiges sont en général bien conservés, avec une mention spéciale pour le premier amphithéâtre visité, les colonnes « mobiles » du Temple d’Artémis et le Forum. Jerash ne se trouvant qu’à 40 minutes d’Amman, c’est donc très facile de s’y rendre et d’y passer une bonne demi-journée.

Un amphithéâtre vertigineux... toujours à Jerash.

Par contre, notre second contact avec la nourriture est quelque peu gâché par la qualité du restaurant sur le site de Jerash; le buffet chaud apparemment était bon mais on avait décidé de ne manger qu’un sandwich qui en plus d’avoir mis 25 minutes à arriver était insipide…

Apres cette légère déception, on fait environ 1h30 de car pour se rendre sur les bords de la Mer Morte. On remercie au passage que cette journée se soit passée en partie dans le car, parce qu’il faut avouer que même si le décalage horaire n’est que de deux heures, on est bien éclaté de notre voyage et de notre courte nuit.

Notre arrivée aux bords de la Mer Morte s’est avérée être une expérience unique, difficile à décrire, ou bien même à prendre en photo. Quelques détails sur sa composition : elle a une salinité d’environ 30% soit presque 8 fois plus qu’une mer normale et on l’appelle la Mer Morte (même si c’est en réalité un lac) car les conditions de vie pour la faune et la flore sont impossibles.

Ce qui assez marrant avant de s’immerger, ce sont les indications qui sont données tel que ne pas se raser au moins 48 heures avant d’aller dans l’eau et de ne pas ouvrir les yeux sous l’eau sous peine d’une douleur indescriptible. Pour être honnête lecteur, les premiers pas dans la Mer Morte sont semblables à ceux d’une mer normale, sauf qu’on se baigne avec ses tongs pour éviter de se blesser avec les gros blocs de sels qui gisent au fond. Une fois immergé, il est difficile de décrire ce qu’on ressent: on a l’impression qu’on ne peut pas couler et qu’on n’a pas besoin de fournir d’effort pour faire la planche ou maintenir son corps en dehors de l’eau. Si je n’ai pas trouvé que ça grattait trop, la mer en elle-même a une consistance bizarre, comparable à celle d’un sirop. Et si comme moi, vous sortez et vous laissez sécher avec le vent, vous aurez l’impression au début qu’un film de gras s’est déposé sur votre peau, qui en séchant laissera la place à des morceaux de sel!

Une expérience unique qui ne sera vraisemblablement durera pas longtemps car la Mer Morte va disparaitre d’ici quelques années : le climat sec et l’extraction de potasse, qui est une industrie fleurissante sur les bords du lac, font que la Mer Morte perd chaque année un mètre et les prédictions sont pessimistes : elle disparaitra d’ici 50 ans.

Nom, nom, nom, Mezzé

Apres notre retour à Amman, on mangera dans un restaurant qui se nomme Talaween Hal-Hawa, et qui est constitué d’un mélange de locaux et de touristes et qui a surtout l’avantage de pouvoir servir une table de 20 personnes.

Leur mezzé (une douzaine de petits plats à partager entre 4 ou 5 personnes) fut excellente et extrêmement bien garnie; j’aurai définitivement pu m’arrêter là. Le plat principal que j’ai choisi, le Mansaf, est le plat national: il s’agit d’agneau mariné dans une sauce au yaourt sur du riz parfumé à la cardamome. C’était un peu décevant (était-ce l’endroit qui l’avait mal préparé ou est-ce simplement le plat qui ne me convenait pas ?) et surtout on était déjà repu.

La Jordanie étant un pays musulman, on ne peut que rarement consommer de l’alcool, ou alors c’est très cher. Par contre la boisson qui se trouve dans à peu près tous les cafés et restaurants est délicieuse. C’est une sorte de citronnade avec de la menthe hachée et pour donner une idée, c’est comme un mojito sans bulle (et sans alcool évidemment). On finit le repas avec un plateau de fruits à volonté.

Une adresse sympa, mais je ne pense pas qu’on puisse la recommander, car il doit certainement y avoir de bien meilleurs endroits pour manger.

De retour à l’hôtel on s’écroule de fatigue.

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12 mars

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Départ de la capitale aujourd’hui en direction du Mont Nébo. Le lieu offre apparemment un magnifique point de vue sur la Mer Morte ainsi que Jéricho et Jérusalem. Le problème est qu’avec la poussière et l’évaporation due à la Mer Morte, ben on n’a pas vu grand-chose! C’est assez décevant sachant que le reste de la visite du mont présentait des mosaïques un peu décevantes, rien de bien séduisant pour rattraper le manque de visibilité.

Prochaine étape, Madaba, une ville apparemment riche en mosaïques. On a passé (trop) peu de temps dans la ville, en visitant l’église orthodoxe de St Georges; honnêtement, j’ai pas été dans de nombreuses églises orthodoxes mais il n’y avait rien de transcendant mis à part une mosaïque qui représentait une carte de la région à l’époque, non pas à l’échelle géographique mais plutôt à l’échelle historique. L’artefact était intéressant mais ne méritait pas qu’on s’arrête rien que pour cela. Le guide papier que nous avions emmené préconisait quelques visites supplémentaires, mais comme je l’indiquais précédemment, le problème de ces voyages en groupe c’est qu’on ne décide pas forcement de ce que l’on va faire ou du timing.

Al Kerak

Apres cette matinée assez pauvre en évènements trépidants, on achète un sandwich aux fallafels et quelques sucreries avant de reprendre le car en direction d’Al Kerak, où se trouve une forteresse qui a été le lieu de nombreuses batailles entre musulmans et templiers.

Pour se rendre à Al Kerak, nous avons emprunté la Route des Rois qui déjà à l’époque des caravanes permettait de relier Amman à Aqaba, ville portuaire de Jordanie. Située à flanc de montagne, le château de Kerak ne paie pas forcement de mine et semble assez basique vu de l’extérieur. Mais une fois rentré dans les lieux, j’ai pris beaucoup de plaisir à le visiter. Il y a énormément de recoins et avec sa disposition, les jeux de lumières permettent d’apprécier les différentes pièces. Au moment de la visite on a aussi pu se rendre compte à quel point les conditions de vie dans la place forte devaient être rudes car il faisait extrêmement froid, ceci dû à l’altitude et surtout il y avait beaucoup de vent.

Al Kerak fut une bonne surprise et après notre escale, nous faisons route plein sud pour deux heures et demie et notre destination de Wadi Musa, la ville qui se trouve près de Petra, le point touristique le plus célèbre de Jordanie. Pour ceux qui n’ont jamais entendu parler de Petra, l’évocation d’Indiana Jones et la Dernière Croisade permettra de visualiser l’un des monuments centraux de la ville cachée, le Trésor (aussi appelé Al Khazneh) qui est le temple où Indiana et son père localisent le Saint Graal à la fin du film.

Arrive à 19h à notre hôtel, notre groupe se retrouve à 19h45 au « restaurant » et pendant que nous entamons un diner bien copieux (composés de mezzé, poulet à la broche et mariné accompagné de riz parfumé ainsi que fruits), notre tour leader nous réserve un billet pour profiter d’un spectacle nocturne à Petra, devant le Trésor.

L’expérience est évidemment faite pour attirer le plus de touristes possible, mais vaut la peine d’être effectuée; je pense que si c’est la première fois que vous vous rendez à Petra, sans avoir déjà effectué le parcours la journée, il y aura une atmosphère mystique encore plus forte. Nous voilà donc dans l’obscurité en train de descendre dans les gorges qui abritent Petra avec pour seul éclairage des lanternes à même le sol. Tout est insolite et sachant que c’est la première fois que nous faisons le trajet, l’imagination prend le pas sur les sens et c’est très atmosphérique. Après ce qui semble être une éternité à marcher (30 à 40 minutes en fait), on arrive enfin au Trésor qui apparait assez soudainement, au détour d’une paroi, dans la pénombre des lanternes. Nous prenons vite place sur des tapis disposés sur le sol avant que le spectacle ne débute. Difficile de décrocher son regard du Trésor, surtout avec cette lumière tamisée et une ambiance mystique qui entoure la petite « clairière » où il se situe. Peu de temps après notre arrivée, la musique commence avec violon dans un premier temps, puis de la flute par la suite. Le spectacle dure en gros une vingtaine de minutes et c’est relaxant et agréable d’être assis à contempler un si beau monument en écoutant de la musique bédouine. Le seul hic est le comportement des gens et les flashes incessants des appareils photos qui je suis sur étaient totalement inefficaces pour capturer la beauté des lieux et de la musique. On repart tranquillement vers notre chambre, comblé par le divertissement.

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13 mars

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Cette journée, ainsi que la suivante, sera exclusivement consacrée à la visite de la cité cachée de Petra; sachant que de nombreux touristes ne viennent que pour voir le Trésor puis repartir derechef, il nous était difficile de nous faire une idée à l’avance de ce qu’était Petra.

Le Trésor

Elle a été fondée par un peuple bédouin appelé les nabatéens au 1er siècle avant JC. Petra était au carrefour de plusieurs régions et de nombreuses caravanes y faisaient escale ce qui a contribué au fleurissement et l’enrichissement des nabatéens. L’empire de Rome a aussi pris la ville sous « sa tutelle » qui a continuée à être habitée jusqu’à l’arrivée de l’empire byzantin. Rapidement après le 4e siècle, la ville a semblé disparaitre des archives et est tombée dans l’oubli avant d’être mentionnée à nouveau lors de l’arrivée des templiers dans la région qui y construisirent des forteresses vers le 12e siècle. Mais c’est avec les victoires de Ṣalāḥ ad-Dīnet que les templiers furent chassés de Petra et que la ville fut presque totalement effacée de la carte jusqu’en 1812 où une expédition suisse redécouvrit la cité.

L’arrivée à Petra se fait en passant à travers le Siq, une passe naturelle qui s’est formée au travers des âges avec les tremblements de terre et l’érosion de la roche. Pendant près de 30 minutes, le chemin tortueux zigzague au travers de parois pouvant aller de plusieurs mètres de large jusqu’à un minimum de 3 mètres. Le parcours est parsemé de sculptures et autre vestiges des différentes civilisations qui ont foulées le sol de Petra: des aspérités nabatéennes ou encore des arches romaines en sont des exemples. La fin du chemin s’effectue avec une arrivée au Trésor, qui devra se faire de préférence le matin, lorsque la lumière du soleil frappe le monument de plein fouet et lui donne une couleur dorée. C’est au détour d’un des méandres du Siq que l’on peut apercevoir une partie du temple qui petit à petit, révèlera toute la splendeur de sa façade. Le Trésor est tout simplement magnifique ! Il mesure près de 40 mètres de haut et est construit à même la roche. C’est un édifice à la fois imposant et très délicat de par les sculptures qui sont restées quasiment intactes au travers des âges. Des impacts de balles sont disséminés près du centre et sur l’urne qui trône au sommet car les gens croyaient qu’elle renfermait un trésor, ce qui était évidemment faux.

La Tombe de l'Urne

Après être resté une petite demi-heure devant le Trésor, nous entamons la visite de Petra à proprement parlé. Les prochaines 90 minutes sont suffisantes pour nous faire comprendre l’ampleur de la ville et des recoins qu’elle cache. La voie principale, depuis l’entrée jusqu’à l’autre extrémité de la cité, s’étend sur au moins 6 km et sur notre itinéraire, nous avons vu de nombreux monuments tels que des tombes, des grottes, un théâtre, tous sculptés à même à la roche, qui a pour caractéristique d’être rose et friable. L’interactivité est optimale car il faut sans cesse grimper pour atteindre les différents édifices et sur notre chemin il y a une multitude d’autres sentiers qui mènent vers des points de vue souvent isolés. Le site en lui-même est gigantesque et pour tout visiter, je pense qu’une petite semaine est nécessaire pour avoir l’occasion de tout explorer.

Après un repas copieux et près de trois heures de marches, nous commençons la deuxième partie de la journée qui est l’ascension jusqu’au Monastère (encore appelé Deir). Pour parcourir les 818 marches, on s’arme soit de son courage, soit on peut faire le chemin à dos d’un âne. La description faite du parcours est en réalité peu fidèle à ce que notre guide avait promis en termes d’intensité : si on est physiquement apte, à peine plus d’une demi-heure est nécessaire pour atteindre le site du Monastère. Nous avons été une nouvelle fois surpris par le Deir car nous ne nous attendions pas à trouver un édifice aussi gigantesque à cette altitude. Il y a vraiment des gens complètement barrés pour se dire, tiens je ferai bien construire un temple énorme, à même la roche et à cette hauteur. D’après le guide papier, la signification de cette localisation serait en fait du au caractère certainement religieux des cérémonies qui avait lieu au Monastère il y a près de 2000 ans, le chemin à parcourir pour atteindre le sommet devait avoir une signification particulière et vraisemblablement religieuse. Après une pose photo, deux ou trois points de vue sont accessibles depuis l’édifice et nous choisissons celui qui propose une vue plus en hauteur de ce dernier plutôt que celui qui est censé nous montrer la mer morte, du fait de notre mauvaise expérience de la veille

Le Monastère

Un conseil, il est préférable d’effectuer cet itinéraire l’après-midi pour pouvoir profiter d’un ensoleillement optimal, je ne suis pas sûr que la lumière du matin permette d’admirer le Monastère avec de si chaudes couleurs.

Notre descente s’effectue tranquillement pour reprendre la voie principale vers le Trésor. Sur le chemin, on croise aussi des ruines de différents temples sur la rue principale qui abritait à l’époque de nombreuses boutiques et était la rue commerçante de Petra.

Il est quasiment 17h30 lorsque nous revenons à notre hôtel, après être partis à 8h30, la tête pleine de souvenir de notre journée. Notre diner s’effectue à deux minutes de notre hôtel, qui lui-même est à 200 mètres de l’entrée du site de Petra. On conseille vivement de choisir une chambre proche de l’entrée, car cela permet d’effectuer des journées bien remplies et de ne pas mourir d’épuisement avant de rentrer à l’hôtel.

4 réflexions sur “ Jordanie (10 au 18 mars 2012), première partie ”

  1. Vortigern sur

    C’est très marrant (ou déprimant, peut-être), j’ai l’impression qu’on a fait à peu de choses près le même voyage ! Dans la deuxième partie, à environ 1h30 de la deuxième journée à Pétra, pendant la descente des hauteurs du trésor, une vieille dame bédouine vous aborde pour vous signaler la présence d’un bas-relief ? à 1h31 vous déclinez par habitude ? à 1h32 elle se moque de vous en vous expliquant qu’elle n’essaie pas de vous vendre la montagne ?

  2. Stoeffler sur

    Bah, je ne me rappelle plus combien de temps vous etes partis, mais il me semble qu’il y a constante dans ce que le guide recommande et a partir du moment ou la duree du voyage est apeu pres une semaine, c’est certainement normal qu’on ait fait des trucs similaires.
    Si par contre, a la journee pres et dans le meme ordre, c’est assez flippant!

    Pour Petra, c’est presque ca :), tu verras quand je posterai la deuxieme partie. Mais ca sonne familier…

  3. Akodostef sur

    Même Esprit n’existait pas encore à l’époque de notre voyage en Jordanie, ce qui fait que je n’en ai pas de souvenir écrit (heureusement, comme c’était un voyage vraiment très très chouette, il m’en reste beaucoup d’images en tête), mais effectivement ça ressemblait beaucoup.
    La différence principale jusque là était que nous on était en individuel ce qui a changé pas mal de choses ; d’une part, on s’est perdus en sortant de Amman, et ça a été à moitié flippant (tous les panneaux sont écrits en arabe quand tu sors du parcours principal touristique, et on a très clairement vu la différence entre la ville (assez proche de ce qu’on peut imaginer d’une ville arabe développée) et ses faubourgs (beaucoup plus proches de ce qu’on imagine d’un pays pauvre du moyen-orient).
    Ensuite nous sommes arrivés seulement le soir à la Mer Morte ce qui fait qu’on ne l’a découverte qu’à l’aube, il faisait froid et on n’est restés que peu de temps dans l’eau, mais le souvenir qui m’en reste est assez semblable aux sensations que tu décris. Pour tous ceux qui peuvent se le permettre, on recommande chaudement le Mövenpick Dead Sea Spa, un hôtel de grand luxe qui donne directement sur la Mer et dont les buffets sont à ce jour et selon notre expérience, les plus riches et les meilleurs du monde ^_^
    On n’a pas fait la découverte de Petra de nuit, mais par contre on y a passé deux jours complets ce qui nous a permis de découvrir cet immense terrain de rando en-dehors des sentiers battus et c’était vraiment très agréable.
    Et pourtant malgré l’excellent souvenir que m’a laissé Petra, il reste une étape du voyage qui était encore plus extraordinaire, et dont je pense qu’on parlera dans ta deuxième partie de récit : le désert du Wadi Rum (mais j’avoue qu’on a eu spécialement du bol par rapport à ça et tout le monde n’a peut-être pas eu la chance de le découvrir dans les circonstances dans lesquelles on a pu le découvrir)(oh, ce teaser de malade ! ^_^)

  4. Un des plus beaux pays à visiter assurément. Rien que pour Petra déjà ça vaut le coup.

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