Heroes, saison 3 : le bilan

Pour les quelques chanceux, qui ont eu la chance de ne pas visionner cette lamentable (oui c’est le mot du jour) saison 3, un bilan sur cette catastrophe.

Il semblerait que la grève des scénaristes se soit prolongée pour cette série qui a  accumulé invraisemblances, incohérences et surtout lenteur durant cette saison. Les premiers épisodes de cette saison laissaient pourtant entrevoir de nombreuses possibilités jusqu’au chapitre 4 (Fugitives) où tout est parti en vrille (restons correct) pour nous offrir le paroxysme de l’absurdité au season finale avec en bonus le retour des réflexions existentielles de Mohinder en voix off au début de l’épisode. Je n’aurais qu’un mot pour résumer ma réaction post visionnage : Ouf !

Espérons que la saison 4 reviennent dans le droit chemin avec ce chapitre 5, judicieusement intitulé Redemption (où quand la ficiton rejoint la réalité).

3 réflexions sur “ Heroes, saison 3 : le bilan ”

  1. Akodostef sur

    Heu… on en est pas déjà à la saison 3?
    Personnellement je continue de regarder à cause de ma moitié, mais je n’ai plus aucun intérêt pour la série depuis le début de la saison 2 (qui était chiante et absurdement rythmée (youpi la fin des deux grands méchants expédiée en 5mn avant la fermeture)), et ça ne s’est pas arrangé avec la saison 3 (dans laquelle on reprend les mêmes acteurs, mais avec des personnalités différentes, principe inédit tellement il est stupide).
    Hiro, le personnage le plus chouette et original de la série est passé de loser sympathique dans la saison 1 à celui de loser reulou dans la saison 2, puis de clown tâcheron dans la saison 3, une belle métaphore de ce qu’il arrive à la série elle-même.

  2. Ayastan sur

    Oui effectivement, erreur de ma part, et d’accord sur Hiro. C’est quand même vraiment dommageable de voire ce genre de série renouvellée alors que d’autres de qualité sont annulées

  3. Jika sur

    Attention, spoiler possible sur le très bon site dédié aux séries : http://serial-watcher.com/2009/05/12/heroes-volume-4-fugitives/

    Une citation qui n’engage à rien (mais qui, vraiment, n’est pas engageante) :
    « Quand à Sylar, il traverse une grosse crise identitaire. Du coup il fait un road trip avec un branleur (son demi-frère ?) à la recherche de son père, qui vit en ermite dans une cabane. Puis il choppe un pouvoir lui permettant de prendre l’apparence de n’importe quelle personne qu’il touche et commence à oublier qui il est vraiment… Super. »

    Suuuuuuper

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